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RĂšglesdu Loup Garou: Jeux du Pendu: loups garous saison 2: Devine qui c'est ? Le loup garous saison 1: fĂȘtons le nouveau forum : Inscriptions pour le premier Loup Garou ALV : A la recherche de la citĂ© perdue de Dionysos : Candidature de bibi !! inscription aux loup-garous saison 2 Unepersonnalisation complĂšte de la forme bestiale disponible dans le CAS. Nouveau cycle lunaire, transformations, mini-monde ouvert Telles sont certaines des fonctionnalitĂ©s que propose le pack de jeu Loups-garous.TrĂšs attendu par la communautĂ© de joueurs de Les Sims 4, est-il Ă  la hauteur des espĂ©rances ?Nous avons testĂ© le pack et voici Ici EA propose des dĂ©fis pour remporter des packs pour le mode FUT ainsi que des crĂ©dits. Retrouvez ci-dessous notre guide pour le dĂ©fi MalĂ©diction du Loup-Garou. Pour rappel, ce dĂ©fi se termine le 21 octobre. DCE MalĂ©diction du Loup-Garou . → Joueurs – mĂȘme championnats : Maximum 4. → Joueurs – Argent : Exactement 10 loupgarou. nm. familier homme malfaisant mythique qui se mĂ©tamorphoserait en loup certaines nuits pour tuer ou faire du tort. patte-de-loup , lycope, marrube d'eau, pied-de-loup. nf (botanique) plante herbacĂ©e de la famille des labiĂ©es. pattes-de-loup , rĂ©trospective– loup garou. Imprimez plusieurs jeux pour une mĂȘme Ă©quipe (au moins 2 fois). Le temps global Ă  prĂ©voir est de 40 minutes. DĂ©roulement du loup garou. Voici les diffĂ©rentes Ă©tapes Ă  suivre pour mener Ă  bien cette nouvelle rĂ©trospective. Les cartes seront mĂ©langĂ©e et disposĂ©es face cachĂ©e au centre de la table. Etape 1: Rencontre Avec Joe Black Streaming Vf Hd. 4 Images 1 Mot rĂ©ponses et astuces pour 8 Lettres mots du jeu populaire pour iOS et Android par le dĂ©veloppeur LOTUM GmbH. Vos rĂ©ponses dans le jeu peuvent ĂȘtre dans un ordre diffĂ©rent, alors consultez la page prĂ©cĂ©dente si la rĂ©ponse ci-dessous ne correspond pas Ă  la question de votre niveau. Nous avons trouvĂ© 793 puzzles. Previous123456789101112Next Cliquez sur l'image pour voir la rĂ©ponse. Previous123456789101112Next RetournerQue pensez-vous de notre site internet? Ce que les gens recherchent YRMPT, Tvfna, EINOA, DMNIJ, NOENN, IJZOL, IQRSA, AMTNE, XUBEA, i a v, FRBAE, ETNOI, DSPPR, OLNRK, Iciou, ANMMA, TERNU, hrazv, SAECS, HICEDLoading comments...please wait... TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Le jeu du loup-garou est trĂšs amusant et peut accueillir un grand nombre de joueurs, ce qui le rend idĂ©al lors des fĂȘtes et rassemblements. L’objectif est d’identifier et d’éliminer les loups-garous qui se cachent parmi les villageois. Commencez par mĂ©langer et distribuer les cartes, en prenant soin d’inclure au moins 2 loups-garous, 1 docteur et 1 voyante. D’autres cartes peuvent ĂȘtre ajoutĂ©es pour pimenter la partie, comme l’alcoolique, la sorciĂšre ou encore le chef des loups. La partie commence par la phase nocturne, quand le meneur de jeu demande aux loups-garous de dĂ©signer une victime. Ensuite, le docteur est autorisĂ© Ă  sauver une personne et la voyante peut demander Ă  voir la carte d’une personne qu’elle soupçonne d’ĂȘtre un loup. La nuit prend fin. Le matin venu, les joueurs dĂ©battent et votent pour Ă©liminer une personne qu’ils croient ĂȘtre un loup, puis la nuit revient et un nouveau tour dĂ©bute. Le jeu se prolonge jusqu’à ce que les loups-garous ou les villageois aient gagnĂ©. De nombreuses versions de ce jeu existent, modifiant les rĂšgles ou ajoutant une variĂ©tĂ© de personnages intĂ©ressants. 1 Rassemblez au moins 7 joueurs. Ce jeu est le plus amusant quand il est jouĂ© par un groupe important. Rassemblez au minimum 7 joueurs et faites-les assoir en cercle par terre ou Ă  une table pour qu’ils puissent tambouriner pendant la phase nocturne [1] . Un nombre impair de participants est prĂ©fĂ©rable, mais pas obligatoire. 2 Choisissez un meneur de jeu. Ce dernier ne participe pas aux tours, mais les dirige et se charge de raconter l’histoire qui se dĂ©roule. Étant chargĂ© de distribuer les cartes, il connait l’identitĂ© de chaque joueur [2] . Vous pouvez changer de meneur de jeu Ă  chaque partie pour donner une chance Ă  tous de jouer plusieurs rĂŽles. S’il y a beaucoup de participants, le meneur peut s’aider d’un cahier pour noter les rĂŽles de chacun et suivre qui a Ă©tĂ© Ă©liminĂ© ou non, afin de rester efficace tout au long de la partie. 3 PrĂ©parez autant de cartes qu’il y a de joueurs. Les cartes dĂ©terminent le rĂŽle que jouera chaque personne au cours de la partie. Comptez le nombre de joueurs et choisissez suffisamment de cartes pour que chacun en reçoive une [3] . Mettez de cĂŽtĂ© le reste des cartes. 4 PrĂ©voyez une voyante, un docteur et des loups-garous. Tous les joueurs ont un rĂŽle Ă  jouer dans la partie, mais ces cartes en particulier assignent une fonction spĂ©ciale qui rend le jeu plus intĂ©ressant. Il est important de prĂ©voir une sĂ©lection variĂ©e de personnages afin de garder l’intĂ©rĂȘt du jeu [4] . Il doit toujours y avoir au moins 1 voyante, 1 docteur et 2 loups-garous. Les cartes restantes sont de simples villageois. Pour les parties Ă  16 joueurs ou plus, remplacez un villageois par un loup supplĂ©mentaire. Conseil si vous ne possĂ©dez pas le jeu du loup-garou, vous pouvez crĂ©er les cartes par vous-mĂȘme en Ă©crivant ou dessinant les rĂŽles sur des morceaux de papier, qui seront ensuite tirĂ©s au sort. Pensez seulement Ă  inclure tous les personnages pour que le jeu se dĂ©roule correctement. 5 Ajoutez des rĂŽles supplĂ©mentaires si vous le souhaitez. Pour pimenter la partie, vous pouvez choisir d’inclure d’autres personnages pour remplacer les simples villageois, comme l’alcoolique, la sorciĂšre ou le chef des loups [5] . L’alcoolique se comporte comme un villageois tout au long de la partie, mais il ne peut communiquer que par des gestes et des bruitages. S’il prononce le moindre mot, il meurt automatiquement. D’autres personnages, tels que les loups-garous, peuvent prĂ©tendre ĂȘtre l’alcoolique par stratĂ©gie. La sorciĂšre agit Ă©galement comme un villageois, mais elle a la possibilitĂ© d’utiliser 1 potion de soin et 1 potion empoisonnĂ©e Ă  n’importe quel moment de la partie. Quand la sorciĂšre fait partie du jeu, le meneur l’appellera sĂ©parĂ©ment pendant la nuit pour lui demander si elle souhaite sauver la personne tuĂ©e par les loups ou tuer quelqu’un d’autre. Chaque potion n’est utilisable qu’une fois. Le chef des loups se comporte comme un loup-garou normal, mais il doit absolument prononcer le mot loup-garou » au moins une fois pendant le dĂ©bat de la journĂ©e. Cela peut s’avĂ©rer difficile, car les autres joueurs peuvent activement Ă©viter ce mot afin de pouvoir identifier ce personnage. Si le chef des loups ne parle pas du tout pendant la journĂ©e, il meurt immĂ©diatement. 6 MĂ©langez les cartes et distribuez-les, face cachĂ©e. Une fois les cartes prĂ©parĂ©es en nombre suffisant, mĂ©langez-les bien puis distribuez-en une Ă  chaque joueur, en veillant Ă  ce que personne ne puisse voir le rĂŽle assignĂ© Ă  ses voisins [6] . Chaque joueur doit prendre connaissance de sa carte, mais ne doit jamais rĂ©vĂ©ler son identitĂ© aux autres. 1 Demandez Ă  tous les joueurs de fermer les yeux. Toute partie de jeu du loup-garou commence par une phase nocturne. Une fois toutes les cartes distribuĂ©es, le meneur annonce que la nuit tombe et que les villageois vont se coucher. Tous ferment donc les yeux. Si un joueur tente de tricher ou d’ouvrir les yeux, il est Ă©liminĂ©. 2 Tapez sur vos genoux ou sur la table pour couvrir le bruit. Le jeu du loup-garou repose sur le fait qu’aucun joueur ne connaisse l’identitĂ© des autres. Pour garantir le mystĂšre, demandez aux participants de tambouriner sur leurs genoux ou sur la table pour couvrir tous les bruits que pourraient faire les joueurs actifs durant la nuit. Essayez tous de tambouriner en rythme pour crĂ©er un son plus intense. Chaque joueur doit garder les yeux fermĂ©s tant que ce n’est pas son tour. 3 Laissez les loups-garous choisir leur victime. Pendant que tout le monde tambourine, le meneur de jeu annonce, loups-garous, rĂ©veillez-vous ». Ces derniers ouvrent les yeux et dĂ©signent du doigt la personne qu’ils veulent tuer. Les 2 loups doivent s’accorder sur 1 villageois. Les loups doivent continuer de tambouriner pendant qu’ils prennent leur dĂ©cision pour Ă©viter les suspicions de leurs voisins. Une fois la victime dĂ©signĂ©e, le meneur en prend note et annonce, loups-garous, rendormez-vous ». Conseil aidez-vous de gestes tels qu’un hochement de tĂȘte, un haussement de sourcil ou un mouvement de menton pour dĂ©signer la victime. 4 Permettez au docteur de sauver 1 personne. Tandis que le tambourinement continue, le meneur dit, docteur, qui veux-tu sauver ? » Le joueur possĂ©dant la carte du docteur ouvre alors les yeux et choisit une personne qui survivra si les loups-garous ont dĂ©cidĂ© de la tuer. Le meneur prend note du joueur dĂ©signĂ© et le docteur se rendort. Le docteur peut choisir de se sauver lui-mĂȘme s’il le souhaite. Il ne doit jamais savoir qui a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© par les loups. Si un joueur a Ă©tĂ© choisi pour victime par les loups-garous, mais le docteur a choisi de le sauver, le meneur annoncera quelqu’un a Ă©tĂ© sauvĂ© » le matin venu. 5 Autorisez la voyante Ă  essayer d’identifier un loup. AprĂšs que le docteur a fait son choix et alors que tout le monde continue de frapper des mains sans ouvrir les yeux, le meneur appelle la voyante avec ces mots voyante, rĂ©veille-toi. Choisis qui tu veux dĂ©couvrir ». La personne possĂ©dant la carte de la voyante ouvre les yeux et dĂ©signe 1 joueur qu’elle soupçonne d’ĂȘtre un loup. Le meneur lui indique d’un geste silencieux si ses soupçons Ă©taient justes. Ensuite, la voyante referme les yeux. Le meneur peut lever le pouce ou secouer la tĂȘte pour faire passer sa rĂ©ponse Ă  la voyante. Dans certaines versions du jeu, la voyante est autorisĂ©e Ă  voir la carte de la personne de son choix au lieu de simplement identifier qui est un loup-garou ou non. Assurez-vous de jouer le plus silencieusement possible pour Ă©viter que la voyante ne soit dĂ©voilĂ©e aux loups. La voyante ne peut identifier qu’une seule personne par partie. 6 Laissez la sorciĂšre empoisonner ou soigner 1 joueur de son choix. Si ce rĂŽle est inclus dans la partie, le meneur de jeu annonce, la sorciĂšre se rĂ©veille », puis, la sorciĂšre ramĂšne quelqu’un Ă  la vie » et enfin, la sorciĂšre empoisonne quelqu’un ». Au moment de chacune de ces annonces, la sorciĂšre peut indiquer 1 personne Ă  Ă©liminer ou Ă  sauver [7] . MĂȘme si la sorciĂšre est tuĂ©e, le meneur continue d’annoncer son tour chaque nuit pour garder son identitĂ© secrĂšte. La sorciĂšre peut uniquement utiliser chaque potion 1 fois, mais elle peut le faire Ă  n’importe quel moment de la partie. 7 Terminez la phase nocturne et annoncez qui est mort. Une fois que les loups, le docteur et la voyante on fait leur choix, le meneur dit, le village se rĂ©veille ». Il annonce alors Ă  la personne qui a Ă©tĂ© tuĂ©e qu’elle est Ă©liminĂ©e. Ce joueur retourne sa carte, mais ne rĂ©vĂšle pas son identitĂ©. Ce jeu fait un excellent jeu de rĂŽle ! Le meneur peut Ă©laborer une histoire racontant comment le joueur a Ă©tĂ© tuĂ©. De plus, ce dernier peut s’amuser Ă  mourir de façon théùtrale. Dans une version alternative, les joueurs Ă©liminĂ©s peuvent rĂ©vĂ©ler leur identitĂ© aux participants restants. 1 Demandez Ă  tous les joueurs de se prĂ©senter. La phase de journĂ©e dĂ©bute avec chaque participant parlant tour Ă  tour dans le rĂŽle d’un villageois. Les loups, le docteur et la voyante essaient tous de faire croire aux autres qu’ils sont de simples villageois. Le jeu de rĂŽle fait partie intĂ©grante du jeu du loup-garou, alors profitez-en Ă  fond ! Par exemple, quand vient votre tour de parler, vous pouvez faire un petit discours similaire Ă  bonjour, je suis Chris, le forgeron du village. J’ai un tas de fourches bien aiguisĂ©es et je suis prĂȘt Ă  chasser du loup ! » Conseil si tous les joueurs jouent bien leur personnage du dĂ©but Ă  la fin, les dĂ©bats et les moments de vote n’en seront que plus palpitants ! 2 Votez pour Ă©liminer un joueur. Une fois que tout le monde a eu l’occasion de se prĂ©senter, il faut discuter des suspicions de chacun concernant l’identitĂ© des loups-garous. Chaque participant a le droit de dire ce qu’il veut. Chacun peut promettre, jurer, mentir, taire des informations ou raconter les histoires les plus folles au sujet de son identitĂ©. Le village procĂšde ensuite Ă  un vote et le joueur accumulant le plus d’accusations est Ă©liminĂ©. Bien que ce ne soit pas obligatoire, une limite de temps d’environ 5 minutes peut ĂȘtre imposĂ©e pour la phase de dĂ©bat afin de forcer les joueurs Ă  voter rapidement et ainsi faire avancer le jeu. Si le temps imparti arrive Ă  son terme sans qu’un vote majoritaire ait Ă©tĂ© atteint, alors le tour prend fin sans Ă©limination et l’opportunitĂ© de potentiellement tuer un loup est perdue. 3 Recommencez la phase nocturne et continuez ainsi jusqu’à la fin. Une fois un joueur Ă©liminĂ© par le vote, il sort du jeu et la nuit revient dans la partie pour un nouveau tour. Tout le monde ferme les yeux et joue du tambour, tandis que les loups-garous partent Ă  la chasse, le docteur choisit une personne Ă  sauver et la voyante tente d’identifier un loup. La partie continue ainsi jusqu’à ce qu’un camp soit clairement gagnant. Si les 2 loups-garous sont tuĂ©s, alors les villageois ont gagnĂ©. Les loups sont vainqueurs s’ils tuent suffisamment de villageois pour arriver Ă  un nombre Ă©galitaire. Par exemple, s’il y a 2 loups-garous, ils auront gagnĂ© s’il ne reste que 2 villageois dans la partie. À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 12 671 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? Vous pouvez utiliser cette photo libre de droits "Loup-garou" Ă  des fins personnelles et commerciales conformĂ©ment Ă  la licence Standard ou Étendue. La licence Standard couvre la plupart des cas d’utilisation, comprenant la publicitĂ©, les conceptions d’interface utilisateur et l’emballage de produits, et permet jusqu’à 500 000 copies imprimĂ©es. 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Et le remarquable, c’est que gascon comme Ă  peu prĂšs tous les voyageurs canadiens, il finissait par se convaincre de la vraisemblance de ces souvenirs dont l’évocation lui mettait dans la voix un frisson qui ne manquait pas d’émouvoir aussi ses auditeurs. Jos. NoĂ«l, c’est le braconnier terrible, chassant Ă©galement au poil, Ă  la plume, et aussi adroit Ă  dĂ©pister le gibier que les garde-chasses. Les paysans, plus attachĂ©s Ă  la terre, l’appellent avec mĂ©pris et tout bas un mĂ©tis, comme qui dirait un commencement de sauvage. » Ce qualificatif l’humilie cependant, car Jos. NoĂ«l s’estime pire qu’un sauvage. » Aussi est-il ravissant de le voir rentrer d’une expĂ©dition oĂč il a pu faire cheniquer » les Algonquins qui braconnent comme lui dans la rĂ©gion du lac ThĂ©rien. Notre homme vit en effet pauvrement, si l’on veut, mais librement, Ă  la façon des oiseaux. Il a son nid – sa masure – sur le rivage du lac qui Ă©tend soyeusement sa nappe sur les cantons de Preston et de Gagnon, cet immense Ă©largissement de la riviĂšre Petite-Nation que les colons continuent de nommer Lac-Long, bien qu’il ait reçu, il y a quelques annĂ©es, le nom du premier pionnier de ce territoire, le vĂ©nĂ©rable abbĂ© AmĂ©dĂ©e ThĂ©rien. Puisque nous y sommes, notons donc en passant l’idĂ©e qu’ont eue des gens de raison d’émailler le martyrologue gĂ©ographique qu’est notre province de QuĂ©bec, par des dĂ©nominations signifiant enfin quelque chose. Et souhaitons voir bientĂŽt les noms de nos lĂ©gislateurs, de nos poĂštes et de nos philanthropes s’appliquer Ă  ces nappes d’eau majestueuses, Ă  ces caps altiers, Ă  ces monuments impĂ©rissables qui s’affichent aujourd’hui lacs Tortu, Rond, Long, Bossu, et montagnes Plate, en Équerre ou CarrĂ©e. Encore que ces appellations baroques n’ont pas toujours la justesse de celles que Jos. NoĂ«l donne aux diffĂ©rents points de sa rĂ©serve. Quand il appelle une montagne Chevreuil, c’est qui s’y trouve quelques familles ruminant, paisibles, dans la chĂȘnaie ou dans l’érabliĂšre, mais condamnĂ©es par lui Ă  mort, sans espoir de commutation. Quand il nomme un lac Castor, c’est qu’il s’y multiplie quelques castes de ces rongeurs dont la peau est vendue d’avance. Mais lĂ  oĂč Jos. NoĂ«l est superbe, c’est Ă  l’arrivĂ©e en son domaine de sportsmen qui se confient Ă  lui pour faire un bon coup de feu. Il se plaĂźt alors Ă  dĂ©voiler ses cachettes, Ă  indiquer ses ravages » de chevreuils, ses dĂ©barcadĂšres » de loutres et ses battues» de visons, soucieux seulement de faire porter son nom de grand chasseur Ă  MontrĂ©al ou Ă  Ottawa qui lui semblent la mĂ©tropole et la capitale de l’univers. Au demeurant, Jos. NoĂ«l est suffisamment assurĂ© qu’avec toutes leurs armes Ă  rĂ©pĂ©tition les citadins ne feront pas beaucoup de mal Ă  ses bĂȘtes. Chaque Ă©tĂ©, avec quelques camarades, j’allais rater quelques belles piĂšces de gibier dans le domaine de Jos. NoĂ«l. Nous le louions pour nous guider, pendant les vacances du temps passĂ© et dĂ©jĂ  loin ces annĂ©es que je regrette assurĂ©ment pour leurs soixante jours de libertĂ© franche, mais pas du tout Ă  cause de l’internement de dix mois qu’il nous fallait subir sous prĂ©texte de nous instruire et qui nous faisait soupirer comme Ă  l’attente d’un hĂ©ritage aprĂšs la sortie du collĂšge. Par un de ces divins crĂ©puscules de juillet, nous revenions d’un campement Ă  l’embouchure du lac Poisson-Blanc oĂč nous Ă©tions allĂ©s forcer une pauvre biche que nous ramenions victorieusement dans le canot, avec certaines autres dĂ©pouilles opimes et nos chiens haletants aprĂšs une journĂ©e de course folle. FatiguĂ©s nous aussi de deux heures d’aviron, nous mĂźmes une sourdine Ă  notre gaietĂ© lorsqu’il s’agit de faire le portage de cinq milles qui nous sĂ©parait du lac ThĂ©rien, et que nous devions cependant accomplir pour atteindre nos quartiers, Ă  la station Duhamel. Aussi, proposa-t-on, ayant enfin pris terre, de dresser la tente sur la berge et d’attendre le lendemain pour faire le portage. Au reste, la marche devait ĂȘtre dĂ©licieuse Ă  entreprendre par une belle aurore d’étĂ©. – I’mouillerait Ă  boire deboute, prononça vivement Jos. NoĂ«l, i’ ventrait Ă  m’dĂ©visser la tĂȘte de d’sus les Ă©paules, i’ ferait un temps Ă  m’vendre au iable que jamais j’passerai la nuit su’ c’chemin-cite. – Et pourquoi ça ? – Pourquoi ?
 Pourquoi ?
 Tenez, j’sus pas histoireux, j’pas d’affaire Ă  vous dire pourquoi ; mais croyez-mouĂ© qu’on a autant d’acquĂȘt Ă  continuer not’ bauche jusqu’au boute. Et ayant en un clin d’oeil fait tourner le canot sur ses Ă©paules, le guide cria Ever up ! – celui, dans sa langue hĂ©tĂ©roclite, invitait Ă  se mettre en route. Il allait mĂȘme partir lorsque nous lui demandĂąmes de donner au moins des explications ayant la vertu de nous faire oublier la fatigue de nos jambes et de nos bras. – Eh ben, v’lĂ  ! L’loup-garou ravaude toutes les nuits par icite et j’ai pas envie de l’rencontrer encore une fois. – Tiens, tiens, l’ami Jos. NoĂ«l qui a vu le loup-garou. Elle est inattendue, celle-lĂ , et faut nous dire comment cela s’est fait. – J’sus pas histoireux, mais puisque vous voulez pas vous dĂ©cider Ă  partir, Ă©coutez ben et escusez-lĂ . Remettant alors son canot sur la touffe d’aulnettes verdissant le rivage, Jos. NoĂ«l alluma sa pipe et commença d’une voix tremblotante qui enleva tout doute sur sa sincĂ©ritĂ© – Vous allez voir, Ă  un mille et quĂšques parches d’icite, le creek DorĂ© qui servait Ă  la drave des Edwards, y’ a sept ou huit ans. C’est su’ c’creek que j’ai blanchi plus que j’blanchirai pas dans toute ma vie. C’était su’ la fin d’fĂ©vrier. J’venais d’dĂ©ouacher un ours tout justement au lac Vaseux, Ă  la dĂ©charge du Poisson-Blanc, d’ous qu’on d’sort. C’était une fantaisie qui avait pris Ă  un big bug d’Bytown d’avoir une peau d’ours, et j’étais allĂ© li qu’ri, Ă  la raquette, pendant qui s’soĂ»lait au village. J’trouve mon dormeux dans sa ouache, j’l’assomme et l’emmĂȘne dans ma traĂźne. Le long du ch’min, mon chien BoulĂ© fait lever un buck qui passe dret devant mon fusil. J’le caboche, au vol, et pis l’entraĂźne avec l’autre. Mais on a beau avoir la patte alarte, on traverse point l’Poisson-Blanc et pis on le n’traverse pas en criant ciseau. C’qui fait qu’on arrivait su la breunante quand j’lĂąchai l’lac pour prendre le portage, en plein ous qu’on est dans l’moment d’à c’te heure. La noirceur timbe tout d’un coup ; l’temps s’brumasse, s’pesantise et i’ commence Ă  neiger, Ă  mouiller, pis au bout d’une minute i’ timbait pus inque d’la pluie, Ă  siaux. Comme j’voulais pas rester su’ la route, Ă  pas plus d’huit milles de chez nous, j’poigne mes jambes et j’me mets Ă  marcher, mais au bout d’un mille, ça marchait pus, pantoute. Ça calait comme une swamp, la traĂźne collait Ă  terre, j’étais trempe comme an’ lavette et au bout d’mon respire. Statue noire d’un loup Black Statue of a Wolf. Image © Megan Jorgensen Allons, Seigneur ! quoi faire ! Ça a l’air pas mal ch’nu d’rester en chemin
 D’un autre cĂŽtĂ©, j’voulais pas m’en aller allĂšge Ă  la maison et laisser mes deux animaux dans l’bois ousque les loups ou les renards les auraient Ă©tripĂ©s. J’avais peur itou de c’sauvage de Tanascon, de c’trigaudeux qui passe son temps Ă  ravauder pour faire des canailleries. Pis j’pense aussi tout d’un coup qu’on s’trouvait faire su’ l’Mardi Gras et qu’il allait y avoir du fun avec queque chose Ă  boire au village
 J’me rattelle, mais ça pouvait plus avancer. Toujours qu’pour lorse j’gagne l’vieux chanquier, qui avait Ă©tĂ© abandonnĂ© l’printemps d’avant, pour passer la nuit Ă  l’abri, ou tant seulement me r’niper un p’tit brin et attendre qu’la pluie soit passĂ©e. Mais vous savez si c’est d’meure, ces pluies d’hiver quand ça commence, ça finit pus. J’fume trois, quatre pipes en faisant sĂ©cher mes hardes contre la cambuse ousque j’avais allumĂ© une bonne attisĂ©e aprĂšs avoir eu une misĂšre de cheval maigre pour trouver des Ă©copeaux sĂšches. Et comme j’étais Ă  moquiĂ© mort d’éreintement et que j’cognais des clous d’six pouces et demi, j’me rĂ©sine donc, en sacraillant ben un peu, Ă  passer la nuit dans un chanquier. J’accote la porte avec une bonne bĂ»che, j’étends quĂ©ques branches de cĂšdre su l’bed qu’les hommes du chanquier avaient laissĂ© correct, j’plie mon capot d’sus, j’snob mon fusil Ă  la tĂȘte, et dors garçon !
 Ben sĂ»r plusieurs heures plus tard, – parce que l’feu Ă©tait Ă©teindu, – mon chien BoulĂ©, qui s’était couchĂ© avec mouĂ©, m’rĂ©veille en grognant
 J’écoute et ça rĂŽdait autour du chanquier. J’entendais rouler les quarts vides qui avaient Ă©tĂ© laissĂ©s lĂ  par les raftmen, comme si quĂ©que finfin avait essayĂ© d’faire des belles gestes avec
 Et pis les archements s’approchent, et tout au ras d’la porte, j’entends un tas de r’niflages avec des grognements d’ours. J’compte ben qu’c’est pas la peine d’vous dire si i’ faisait noir, en grand, dans not’ sacrĂ©e cabane pas d’feu, par c’te nuit mouillĂ©e. J’me dis C’est drĂŽle qu’un ours ait sorti de sa ouache de c’temps-cite ; mais l’crapet a p’t’ĂȘtre ben cru que c’était l’printemps, rapport Ă  la pluie, et fatiguĂ© de se licher la patte, i’aurait aussi ben voulu recommencer Ă  manger pour tout de bon. Toujours que j’m’assis su l’bed, j’dĂ©croche mon tisonnier, j’y rentre deux balles par-dessus la charge de posses qu’i avait dĂ©jĂ  et j’me dis qu’si l’vingueux venait roffer trop proche, j’y vrillerais un pruneau qui y ferait changer les idĂ©es. J’me disais J’vouĂ© rien, c’est ben clair, mais si l’ours rentre dans l’chanquier ousqu’i’ sent son pareil et pis l’chevreux mort, i’ pourra pas faire autrement que d’faire canter la porte et j’watcherai l’moment d’le garrocher. Ben, j’avais pas aussitĂŽt dit ça qu’l’animal Ă©tait entrĂ© dans la cabane sans qu’la porte eusse cantĂ© d’une ligne. Ça bite le iable ! que j’dis. Et j’étais ben sĂ»r qu’i’étais rentrĂ©, par c’qu’i marchait en faisant craquer l’plancher comme si un animal de deux cents se s’rait promenĂ© su’ l’side walk
 La peur, ça m’connaĂźt pas, mais j’vous persuade qu’j’aurais une tapĂ©e mieux aimĂ© m’voir Ă  danser quelque rigodon d’Mardi Gras et Ă  passer la diche avec mes voisins du lac Long. Pis, c’était d’voir mon BoulĂ© ; lui qu’i’ aurait pas kickĂ© d’s’engueuler avec un cocodrile enragĂ©, le v’lĂ  qui s’racotille, qui s’colle su mouĂ©, la queue entour les jambes, et si Ă©biscaillĂ© qu’i’ devait pus avoir formance de chien en toute. J’le poigne pour tĂącher d’le sacrer en bas, d’le soukser, pas d’affaire. I’s’grippe aprĂšs mouĂ©, et s’met Ă  siller comme un chien qu’i’ aurait attrapĂ© l’aspe et qu’il aurait senti sa mort. Tandis c’temps-lĂ , l’animal qui tournaillait dans la place, nous avait aperçus, et j’me trouve tout d’un coup face Ă  face avec une paire de z’yeux d’flammes, qui remuaient, tenez, pareils Ă  des trous d’feu dans une couverte de laine ; c’était pas des yeux d’ours, c’est mouĂ© qui vous l’dis. Le v’lĂ  qui s’met Ă  grogner, pis Ă  rire, pis Ă  brailler, pis Ă  s’rouler su’l’dos, Ă  planter l’chĂȘne, Ă  swingner qui timbe dans son jack. I’ achevait pus d’culbuter, l’maudit. DĂ©barque donc, vĂ©reux d’chien, que j’dis Ă  BoulĂ©. Mais i’était collĂ© au bed, i’ tremblait comme une feuille avec pus une coppe de coeur
 Vous pensez qu’j’étais pas gros, mouĂ© non plus, avec c’te gibier dans c’te noirceur d’enfer
 J’avais les cheveux dret su’ la tĂȘte ; l’eau m’coulait dans l’dos et mĂȘme que j’me tenais la gueule pour empĂȘcher mes dents d’faire du train
 À la fin, y’a un sacrĂ© boute, que j’dis. J’griffe mon fusil et j’vise l’animal dans ses yeux de feu V’lan ! L’coup part pas
 Ah ben, ça y est, c’est l’iable qui nous a ensorcelĂ©s. Mais avant d’me laisser emporter tout rond par le gripet, j’voulais au moins essayer l’aut’coup, et pour pas l’manquer, j’attends que l’animal arrive au ras mouĂ©. Comme si i’avait divinĂ© mon idĂ©e, le v’lĂ  qui arrive aussitĂŽt
 Ah ! mon blasphĂšme ! que j’dis, puisque t’en veux, poigne-le. Et, mes vieux, c’coup-lĂ  partit en faisant un Ă©clair qui m’fit voir une bĂȘte effrayante avec un corps d’ours, une grande queue et haut su pattes comme un veau. Mais aussitĂŽt l’éclair passĂ©, v’la-t-i pas que j’entends appeler mon nom, oui Jos. NoĂ«l ! Jos. NoĂ«l ! et par une voix que j’connaissais d’puis des annĂ©es, par Ti-Toine Tourteau. LĂ , j’vous l’dis, j’ai eu peur, un peu croche. Et, ma foi d’gueux ! j’aurais aimĂ© mieux m’voir entourĂ© d’une gang de chats tigrĂ©s en furie que d’me savoir face Ă  face avec c’pendard, c’vendu au mistigris, c’t’étripeur d’poules noires, c’te chasseur de galeries
 c’te tout c’que vous voudrez d’maudit. On rencontre pas des Ă©glises Ă  tous les pas dans l’bois et pis on n’a pas toujours le temps d’faire ses dĂ©votions all right ; mais j’vous dis que c’pendard-lĂ  nous escandalisait tous et qu’pas un chrĂ©tien voulait y parler sans avoir quĂ©que mĂ©daille bĂ©nite dans l’gousset un sacreur qui faisait lever les poĂȘles
 c’est bien simple, un sorcier qui mĂ©ritait d’ĂȘtre cruxifiĂ© su’ un poteau de tĂ©lĂ©graphe. C’était lui, l’possĂ©dĂ©, qui m’parlait, sĂ»r comme vous ĂȘtes lĂ , avec un’ voix d’mourant – Tu m’as tuĂ©, Jos. NoĂ«l, tu m’as tuĂ©, mon Dieu, mon Dieu. – Pardon
 – Hein, c’t’y touĂ©, Ti-Toine, c’t’y touĂ© ? qu’ j’y criais quasiment plus mort que lui. Mais lĂšve-toi donc, animal, es-tu mort ?
 BatĂšme ! rĂ©pond donc ; as-tu envie que l’iable m’emporte avec touĂ© ? I’ continuait Ă  s’lamenter – J’vas mourir, j’vas mourir. – Torrieux d’sarpent, veux-tu m’faire mourir de peur ? RĂ©ponds donc une bonne fois. C’t’y touĂ©, Ti- Toine Tourteau ? – Oui,
 oui,
 tu m’as tuĂ©,
 j’vas mourir. – Ous tu d’viens ?
 I’ rĂ©pondait pus, mais j’l’entendais qui gigotait comme un croxignole dans la graisse bouillante. J’ai p’t’-ĂȘtre ben rĂȘvĂ©, que j’me dis, en fin d’compte ; l’gars est p’t’ĂȘtre ben malade ; ça s’peut ben que j’me trouve chez lui
 Quoi penser dans un ravau pareil ? J’essaye d’allumer une allumette, mais i’s’cassaient Ă  mesure que j’les frottais su’ l’mur. Ah ben, y’a des sacrĂ©es imites, que j’dis. J’saute en vas du lite pour voir si c’était du lard ou du cochon, mais v’lĂ  que j’timbe su’ un corps Ă©tendu cont’ la cambuse. Des grands doigts fretes comme d’la glace m’attrapent le poignet et me mettent la main dans une mare chaude et collante comme du sang. – Tu m’as tuĂ©, soupirait-il encore, tu m’as tué  Fallait inque m’égratigner
 une goutte de sang. Ah ! sainte bĂ©nite ! j’me rappelle tout d’un coup qu’on dĂ©livre les loups-garous en les grafignant, en leur faisant sortir une goutte de sang, et j’y d’mande ben vite – T’es-tu loup-garou ? I’rĂ©pĂ©tait – Tu m’as trop fait mal, tu m’as tué  oui, j’sus loup-garou
 C’est tout c’que j’ai entendu parce que je revins Ă  mouĂ© inque le sourlendemain, ou plutĂŽt le lendemain, puisque c’ravau-lĂ  s’était passĂ© l’mercredi des Cendres. Depuis sept ans que c’pendard de Tourteau faisait pas ses pĂąques, i’avait virĂ© en loup-garou Ă  la premiĂšre heure du huitiĂšme carĂȘme qui i’allait encore commencer comme un chien. C’est l’matin du jeudi qu’j’ai Ă©tĂ© trouvĂ© Ă  la porte du chanquier par Tanascon qui s’vante encore d’m’avoir sauvĂ© la vie, parce que c’jour-lĂ  i’ m’a volĂ© mon chevreux pis mon ours
 – Et Ti-Toine Tourteau ? demandĂąmes-nous sans rire Ă  Jos. NoĂ«l qui ne parlait plus. – On l’a jamais r’vu. – Et le chantier en question, il doit ĂȘtre fort intĂ©ressant Ă  visiter
 – Pour ça, y’a pas d’trouble, vous l’voirez point. La premiĂšre chose que j’ai faite a Ă©tĂ© d’y mettre une allumette qui a pris celle-lĂ , j’en rĂ©ponds
 Voyant que nous n’allions pas rĂ©ussir Ă  dĂ©cider notre guide, nous fĂźmes le sacrifice de notre nuit en forĂȘt, dĂ©dommagĂ©s d’ailleurs par la narration qui avait dissipĂ© notre lassitude. Et Jos. NoĂ«l, morne encore du souvenir Ă©voquĂ©, recoiffa son canot et reprit le portage qui fut franchi d’une haleine, dans le silence de la veillĂ©e fraĂźchissante que nous nous gardions aussi de troubler, les oreilles Ă  la confidence des oiseaux commençant Ă  rĂȘver, les yeux au ciel oĂč fuyaient des petits nuages, comme un troupeau de grands cerfs blancs, poursuivis par les archanges qui leur lançaient des Ă©toiles. À lire Ă©galement La vengeance d’une femme Sujets reliĂ©s Please verify you are a human Access to this page has been denied because we believe you are using automation tools to browse the website. This may happen as a result of the following Javascript is disabled or blocked by an extension ad blockers for example Your browser does not support cookies Please make sure that Javascript and cookies are enabled on your browser and that you are not blocking them from loading. Reference ID 0c56fdd7-1db6-11ed-ba12-72756c586254

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